Le brame du cerf… ce chant profond qui résonne dans la forêt à la tombée du jour.
C’est un moment d’intense beauté, mais aussi de respect.
Rester en retrait, écouter sans déranger, se laisser envelopper par la nuit et le souffle du vivant.
L’observation éthique, c’est savoir que la plus belle rencontre est souvent celle qu’on ne force pas.
Avancer lentement, éteindre les lampes, respirer, attendre.
Le brame se vit avec le cœur plus qu’avec les yeux.

Une parenthèse rare où la forêt nous parle du vivant.