Au-delà du cadre académique, ce fut une parenthèse — un moment pour se reconnecter -

Remerciements — et invitation

Je voudrais ici exprimer toute ma gratitude envers les organisateurs du festival Futurs Proches, Figeac Transitions et l’équipe de l’IUT de Figeac pour leur accueil, leur confiance, leur ouverture. Sans vous, ce lieu de dialogue ne pourrait pas naître.

Merci aussi à toutes les personnes que j’ai rencontrées : participants, organisateurs, intervenants, curieux·ses. C’est avec vous que ce murmure du vivant devient parole collective.

Si vous passez par ici : continuons la conversation.
➡️ Que signifie pour vous “coexister avec le sauvage” ?
➡️ Quels gestes, petits ou grands, vous seraient possibles localement ?
➡️ Comment (re)tisser le lien avec le vivant autour de vous ?

Parce que l’avenir ne se décrète pas, il se compose — patientement, humblement, ensemble.

FUTURS PROCHES 2025

IUT de Figeac / Festival des campus en transitions

Une invitation à penser le monde autrement

Quand on m’a invitée au festival Futurs Proches, j’ai senti à la fois l’enthousiasme et le poids du défi : comment mettre des mots, des images, des gestes sur ce désir de “coexister avec le sauvage” — un thème qui nous ramène à ce que nous sommes, à ce que nous partageons avec le vivant.

Futurs Proches, c’est le festival national des campus en transitions, porté par la Communauté d’Universités et Établissements de Toulouse.
Dans ce grand mouvement, le campus de Figeac figure comme un lieu de rencontre où se tissent des dialogues entre nature, savoirs et engagements citoyens.

Mon intervention s’inscrivait dans la thématique “Coexister avec le sauvage – Repenser notre lien au vivant” : un appel à ne pas simplement “mettre la nature à la marge”, mais à repenser comment nos espaces, nos professions, nos imaginaires peuvent accueillir — ou repousser — l’altérité vivante.